Notre charte de confidentialité

En bref :

  • Le cabinet Workcare s’engage à respecter votre confidentialité et votre sécurité professionnelle à tous les niveaux.
  • L’organisation cliente s’engage à respecter les conditions de l’enquête, et à appliquer les règles de bienveillance et de respect imposées par le cabinet.
  • Le répondant s’engage à garantir l’authenticité des réponses livrées lors de l’enquête.

Règle générale :


Le cabinet est le premier garant de la confidentialité. Il reçoit des données brutes par les relevés, les interviews et les « alertes » spontanées puis les analyse, les synthétise, les anonymise et les met en forme.

Les résultats, totalement anonymisés, sont transmis à l’organisation cliente. Le niveau de restitution de cette enquête reste de la décision de l’organisation, régulée par un éventuel accord préalable avec les personnels.


Le Cabinet : Règle de sécurité « perso-professionnelle ».


Le cabinet s’engage à ne pas confier des éléments qui risqueraient de créer un inconvénient pour l’emploi, la carrière, l’évolution professionnelle ou la considération sociale ou familiale d’une personne au travail.


Si au cours de l’analyse des données brutes, le constat d’un risque psychosocial personnel important pour la sécurité psychique d’un salarié était rendu possible, ce constat devra prévaloir sur toute autre considération. Dans ce cas, la personne concernée est contactée directement par le psychologue du cabinet Workcare (dans la mesure où le répondant aura donné ses coordonnées).

Si nécessaire, le cabinet pourra transmettre une éventuelle information au médecin du travail, RH et/ou un préventeur agréé de l’organisation, de l’existence d’un cas de souffrance importante ou de caractère urgent.

L’organisation : Règle de vigilance.


L’Organisation, de son côté, déclare avoir compris et intégré ce que peuvent être les atteintes de l’identité professionnelle, ou l’expression d’une souffrance psychique, ou l’apparition d’un trouble de l’humeur (des formations préalables peuvent aider et garantir cette prise de conscience).

Elle renonce explicitement à assimiler ou associer systématiquement ces expressions aux notions d’incompétence ou de défaut, de faiblesse ou de désengagement. L’Organisation s’engage également à ne jamais chercher « qui a dit quoi ».


Elle déclare, au contraire, faire valoir les raisons essentielles de la mise en place du dispositif par les notions de vigilance dues aux salariés, de solidarité humaine au travail, d’accompagnement professionnel bienveillant et non intrusif, de capacité de l’entreprise à l’échange et à l’action sur ces questions.

Le répondant : Règle d’authenticité


Chaque répondant, quant à lui, s’engage à garantir l’authenticité des informations livrées dans ses réponses lors de sa participation au questionnaire. Il fait preuve de mesure et rapporte des faits sans manipulation.