La fin du baromètre QVT classique – L’ambiance positive de travail – 6/6
21 mars 2021 • Lien au travail • Lecture : 5 minutes • par Roland Guinchard
L’ambiance de travail pour baromètre : Un outil pour la mesurer et une démarche pour la faire progresser
- Introduction (1/6)
- La fin des ratés (2/6)
- La fin de la boule au ventre (3/6)
- La fin des RPS (4/6)
- La fin de la fatigue du lundi (5/6)
Rappel : L’ambiance de travail positive désigne un état psychologique contagieux éprouvé par les membres d’un groupe de travail, dans lequel chacun ressent ce qu’il faut de confiance en les autres, et une vigilance partagée. Cela s’accompagne d’un sentiment de réalisation, dans une juste distance à l’entreprise.
Il est toujours possible de reconstruire une ambiance « abimée » en levant les excès d’anxiété à la source de ces atteintes. La seule condition pour pouvoir le faire est de posséder l’outil d’évaluation adapté. Ce que nous avons créé avec Workcare, un outil conçu comme une « caméra thermique » de l’ambiance.
Workcare comme baromètre, le cahier des charges :
- Pour évaluer objectivement, et concrétiser les potentiels de changement on ne cherche jamais à qui la faute,
- Tous les « irritants anxiogènes » psychiques, inconscients doivent être pris en compte systématiquement.
- L’ambiance doit être vérifiée régulièrement, et toute alerte sur l’ambiance peut être traitée avant 3, 6 mois.
- Les résultats objectifs doivent être obtenus rapidement, et présentés de façon intuitive, simple et vraie.
- L’ambiance doit être évaluée par tous car c’est celui qui travaille qui sait … ce qu’il éprouve.
- Psychologiquement parlant, on ne peut pas séparer individuel et collectif, personnel et professionnel.
- L’évaluation doit porter sur l’entreprise globale (points forts et alertes de stratégie), les services et équipes (points forts et alertes opérationnels),
- L’évaluation doit concerner aussi les personnes (points forts de Bien-être, engagement et alertes individuelles), les catégories socio professionnelles (points forts et alertes sociologiques).
- La confidentialité doit être absolument garantie pour les résultats individuels et restitués seulement aux personnes concernées.
- L’évaluation doit s’associer à des plans d’action modestes et réguliers pour faire évoluer réellement le système.
Ces 10 points ont formé le cahier des charges de WorkCare.